• 1) Dans une maison hantée, les femmes recherchent l'origine des bruits étranges en portant leurs plus beaux sous-vêtements.

    2) Pourchassé dans une ville, vous aurez toujours la chance de pouvoir vous dissimuler au milieu d'un défilé de la Saint Patrick, n'importe quel jour de l'année.

    3) Tous les lits ont des draps spéciaux qui s'arrêtent au niveau des aisselles de la femme mais seulement au niveau de la taille de l'homme allongé à ses côtés.

    4) N'importe qui peut facilement faire décoller un avion, pourvu qu'il y ait quelqu'un dans la tour de contrôle pour lui donner l'autorisation de partir.

    5) Le système de ventilation de n'importe quel bâtiment est le parfait endroit pour se cacher. Là, personne ne pensera à vous trouver et en plus vous pourrez accéder a toutes les pièces de l'édifice sans aucun problème.

    6) Tu survivras très probablement à toutes les guerres à moins que tu ne commettes la fatale erreur de montrer à quelqu'un la photo de ta bien-aimée qui t'attend sagement à la maison.

    7) Un homme se prendra les plus terribles coups sans broncher, mais sursautera quand une femme tentera de nettoyer ses blessures.

    8) Le chef de la police est toujours Noir.

    9) Au moment de payer le taxi, ne regardes jamais dans ton portefeuille pour sortir un billet : prends un billet un au hasard et tends-le : C'est toujours le prix exact.

    10) Les cuisines ne sont pas équipées de lumières. Quand vous pénétrez dans une cuisine en pleine nuit, ouvrez le frigo et utilisez sa lumière à la place.

    11) Pendant une enquête de police il faut forcément passer au moins une fois dans un club de strip-tease.

    12) Une simple allumette suffit pour éclairer une pièce de la taille d'un terrain de foot.

    13) Même si vous conduisez sur une avenue parfaitement droite, il est nécessaire de tourner vigoureusement le volant de droite à gauche de temps en temps.

    14) Un homme visé par 20 hommes a plus de chance de s'en sortir que 20 hommes visés par un seul.

    15) La majorité des gens gardent un album rempli de coupures de journaux; particulièrement si un membre de leur famille est mort dans un étrange accident de bateau.

    16) Ne vous tracassez pas si vous êtes en nette infériorité numérique dans un combat d'arts martiaux: vos ennemis attendent patiemment de vous attaquer un par un, en dansant d'une manière menaçante autour de vous, jusqu'à ce que leur prédécesseur soit au sol.

    17) Lors d'une conversation très émouvante, au lieu de parler en regardant votre interlocuteur, placez-vous derrière lui et parlez à son dos.

    18) S'il y a un malade mental psychopathe en fuite, cela coïncide en général avec un orage qui coupe le courant et les communications téléphoniques dans les parages.

    19) Toutes les bombes sont connectées à un chronomètre à gros affichage rouge, afin que tu puisses savoir exactement quand il est temps de te tirer.

    20) On peut toujours se garer en bas de l'immeuble ou l'on veut aller.


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  • La généalogie est un domaine passionnant : nous découvrons constamment des éléments nouveaux, nous sommes toujours étonnés, surpris, émerveillés, et le poids des ans ou l'habitude n'y changent rien.

    Ainsi, Monsieur M., lors de ses recherches dans la commune de Reyvroz, en Haute-Savoie, a découvert un acte de décès véritablement extraordinaire, qu'il nous fait partager.

    On le sait, les actes de décès sont souvent très laconiques avant le XIXème siècle. Il est exceptionnel d'y trouver la cause de la mort. Dans le cas présent, celle-ci avait dû choquer tellement de paroissiens, que le curé du village s'est senti dans l'obligation de s'en faire l'écho au travers de ses registres...

    En sus d'être particulièrement difficile à supporter, cet acte nous laisse deviner les difficultés de vie de l'époque, quand la médecine n'en était qu'à des balbutiements qui nous laissent pantois aujourd'hui :

     

    Décès de Claudine Barnod, 14 Mai 1754

    L'an mille sept cent cinquante quatre le quatorze Mai est morte et le jour suivant a été enterrée au cimetière de la paroisse Claudine Barnod veuve de Bernard Colloud âgée de soixante ans munie des sacrements plusieurs fois pendant la maladie qui la prendra l'avenir aussi bien par le passé et le présent ayant eu une tumeur depuis 1747 au ventre et à coté et qui est resté toujours la même, le ventre lui sauta et les boyaux sortirent par cette rupture au dessous de la dite tumeur. Le 8 septembre 1747 ses parents firent appeler le même jour le docteur Dessaix habil chirurgien de Thonon qui après avoir examiné et lavé pendant plus de deux heures de suite les boyaux et jugea pas a propos de les faire rentrer dans le ventre quelques jours après cette pauvre femme fit appeler Marie Dubouloz de cette paroisse et lui fit agrandir le trou avec des ciseaux et les lui remis dans le ventre et fit ensuite une couture à la peau du dehors pour les empêcher de sortir de nouveaux mais la nuit suivante la pauvre défunte senti cette rupture se rouvrir le fil de la couture se cassa et les boyaux sortir derechef qui depuis le fond toujours sauté hors de sont ventre, les portants pliés dans ses linges quelle avoit soin de blanchir elle même pour le faire dans une grande propreté. Le second juillet 1748 les dits boyaux furent compris sont tous les excréments solides et autres, ne sortirent que par ce trou par le moyen de ces boyaux rompus, pendant leur....... elle feroit encore de petits ouvrages, venoit régulièrement aux offices jusqu'à 14 jours avant sa mort quelle fut alité et ce qu'il y a de plus surprenant, est qu'a la nouriture n'étoit que du pain de Perette d'avoine et orge et quelques gouttes d'eau avec du sel et peu de graisse qui fait toute la soupe des pauvres gens de ce pays, dont elle étoit du nombre, tout ce que dessus est très véritable et a été vu par un grand nombre de personnes et surtout de je soussigné entre les mains de qui elle soupira en lui faisant la recommandation de l'âme et mourut en disant que rien ne lui fesoit de peine sauf de n'avoir pas assez souffert pur les péchés en foi de quoi je vais signer .

    Ainsi est signé Germain Curé 

     


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  • Avec Papy, nous avons été nous promener dans le jardin des Tuileries.

    Il y a longtemps, lorsqu’il avait notre âge, il venait y faire du patin à roulettes et jouer avec son bateau sur le grand bassin. Il nous a raconté que de temps en temps, son bateau allait sous le jet d’eau central, et qu’il fallait demander aux gardiens d’aller le chercher avec de longues perches... Ce devait être drôle.

     

    Nous y avons vu de belles statues, de beaux jardins, avons au passage dit un petit bonjour à Napoléon figé au sommet de la colonne Vendôme.

     

    Papy a bien essayé de nous expliquer que dans cet endroit, de Henri IV à Napoléon III, les Rois ont vécu aux Tuileries, mais c’est un peu trop compliqué pour nous. Nous en reparlerons dans quelques années...

     

    Par contre, on a bien, profité du manège à l’ancienne mais aussi du trampoline...

     

    Mais au fait, que veut dire Tuileries ???

     

    Là on a bien compris l’explication de Papy.

     

    Jusqu’au 15ème siècle, avec l’argile de cet endroit, on fabriquait des tuiles, dans des Tuileries... Les ouvriers s’appelaient des Tuiliers.

     

    Et ce nom est à l’origine de notre nom de famille THUILLIER, dont nos arrière-arrière-arrière-arrière-arrière grands-parents étaient maçons et tuiliers à Saint-Pardoux dans le Limousin.

     

    Comme a dit Papy, c’était un retour aux Sources...

     

    Lu sur le blog du Cercle Généalogique de Maisons-Alfort

     


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  • Pour faciliter les échanges d'informations et de renseignements entre généalogistes amateurs vous devrez utiliser des sigles et des abréviations conventionnels universels, tous reproductibles sur un clavier d'ordinateur ou de machine à écrire.

     Pourquoi des sigles et abréviations ?

    Une recherche généalogique demande de l'organisation et une méthodologie.

    Au cours de votre quête, il vous faudra classer, trier et organiser les renseignements recueillis à travers des fiches et des dossiers.

    Naturellement, libre à vous de vous organiser comme vous l'entendez. Mais pour faciliter le classement et l'échange des informations, les généalogistes ont mis au point un tableau de sigles spéciaux à utiliser sur vos fiches et dans toutes vos correspondances.

    Ces sigles et ces abréviations vous seront utiles pour indiquer la naissance, le mariage, le décès et autres renseignements sur chacun de vos ancêtres.

     

    Les sigles et abréviations à utiliser

    naissance

    ° ou o ou *

    baptême

    b

    Né et baptisé

    ö

    Naissance illégitime

    (°)

    Mort-né

    °+ ou °? ou °?

    Fiançailles

    (x)

    mariage

    x

    Mariage religieux

    xR

    Contrat de mariage

    Cm

    divorce

    )(

    Mariage dissous par l'Eglise

    )x(

    remariages

    Re x ou x2, x3...

    Union libre, concubinage

    o/o ou &

    Union légitime

    -x-

    Sans alliance actuelle, célibataire

    s.a.a.

    Sans alliance pour une personne décédée

    s.a.

    Postérité adultérine

    p.a.

    Sans postérité

    s.p ou S.p

    Enfant adopté

    adpt

    Descendance

    desc.

    Ascendance

    asc.

    décès

    + ou ?

    obsèques

    obs.

    inhumation

    (+) ou (?) ou (?)

    incinéré

    inc.

    Mort au champ d'honneur

    ++ ou ? ? ou ? ?

    testament

    test ou ttt

    père

    P

    mère

    M

    fils

    fs

    fille

    fa

    parrain

    p

    marraine

    m

    témoin

    t

    veuf

    Vf

    veuve

    Vve

    notaire

    N° ou not.

    monseigneur

    Mgr.

    seigneur

    Sgr.

    sieur

    Sr

    bourgeois

    Bgs

    De cette paroisse

    dcp

    Archives Nationales

    A.N.

    Archives Départementales

    A.D.

    Archives Municipales

    A.M.

    Bibliothèque Nationale

    B.N.

    Baptême, mariage, sépulture

    B.M.S.

    Naissance, mariage, décès

    N.M.D.

    Etat Civil

    E.C.

    microfilms

    MF

    Registres de catholicité

    R.C.

    Religion prétendue réformée

    R.P.R. (calvinisme)

     


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  • Rennes invente la rue en double sens interdi

     À chacune de ses extrémités, la rue Maurice Prestaut est en sens interdit. (Photo : Ouest-France) 

     

    Ce n’est pas commun. La rue Maurice Prestaut, dans le quartier Cleunay, à Rennes (Ille-et-Vilaine), est en sens interdit, à ses extrémités, dans chaque sens de circulation. Pour y parvenir, il faut dorénavant passer par une rue médiane. Les riverains râlent.

     

    Rennes invente la rue en double sens interdi

     

    « C’est stupide ! C’est même devenu plus dangereux qu’avant. Ce n’est pas rare de voir les véhicules prendre le sens interdit car ils ne savent pas par où passer. » Cette riveraine de la rue Maurice Prestaut ne décolère pas. Une rue située dans le quartier de Cleunay entre les rues Champion-de-Cicé et Jules-Lallemand donnant elle-même sur le boulevard de Cleunay, à Rennes.

    Depuis cet été, cette rue s’est dotée d’une particularité peu commune voire inédite. « À chaque extrémité, il y a un sens interdit. On ne peut donc plus y accéder directement, s’étonne encore la riveraine. On est obligé de faire un détour et d’emprunter le chemin des Ormes. On se retrouve alors dans une rue devenue à double sens unique. » Pas simple !

    Une erreur des services de la voirie de la ville de Rennes ou une signalisation temporaire pour cause de travaux ? Même pas. « C’est une décision qui a été prise par la municipalité après concertation avec des habitants, explique Marcel, un habitant de cette rue. Certains se plaignaient de la vitesse excessive des véhicules et aussi de la dangerosité du carrefour qui traverse la rue. Enfin, à ma connaissance, il n’y a eu qu’un accident l’année dernière. »

     

    Labyrinthe diabolique

    Dans un courrier daté du 29 août dernier, la ville de Rennes, par le biais de sa maire adjointe déléguée à la mobilité, Sylviane Rault ainsi que Vincent Maho-Duhamel, conseiller municipal du quartier, indique que la ville « s’est engagée dans un plan de réduction de la vitesse permettant d’améliorer la sécurité routière et favorisant les déplacements actifs et alternatifs à la voiture. » Ainsi est né ce que Gérard, lui aussi riverain, qualifie de « labyrinthe diabolique ».

    Quant à la concertation : « Sur un coin de rue avec des riverains et une décision prise par un responsable municipal. » Ironique, il poursuit. « Nous avons trouvé la quiétude d’un bourg de campagne. Plus de problème de stationnement qui peut maintenant se faire des deux côtés et plus de circulation qui pourrait déranger les riverains. » Sa conclusion : « Il y a de quoi s’inquiéter si tous les habitants des rues avoisinantes exigent le même traitement. Nous n’aurons plus droit qu’aux grandes artères où circulent les bus. »

    Chemin des Ormes, on se plaint aussi. « Le trafic des voitures a augmenté dans notre rue puisque les riverains sont dorénavant obligés de passer par là. »

    Il y a quand même quelques riverains qui sont contents. « On est vraiment tranquille maintenant », assure cette jeune maman. « Il faut juste faire attention aux voitures qui, de temps en temps, prennent le sens interdit et bien expliquer, à nos amis, comment venir chez nous. » Cette personne âgée salue aussi l’initiative. « C’est devenu très calme. Ça ne me dérange pas vu que je n’ai pas de voitures. »

    Article paru dans Ouest-France

     


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