• Retour à l’envoyeur

     

    À Dol-de-Bretagne, les ordures jetées dans la nature sont récupérées et déversées devant le domicile des coupables. Une initiative « à but pédagogique » qui semble porter ses fruits et fait de plus en plus d’adeptes en France.

     

    Une initiative « coup de poing » pour lutter contre les décharges sauvages

    Fatigué de passer son temps à courir après les décharges sauvages, Denis Rapinel, maire de Dol-de-Bretagne, une petite commune de 5 000 habitants située près du Mont-Saint-Michel, a décidé de prendre les choses en main afin de lutter contre ce type d’incivilités. Une fois les coupables identifiés, les ordures récupérées dans la nature par ses services sont déversées devant le domicile des coupables, et assorties d’une belle amende de 136 euros. Comme l’a expliqué le maire sur France 3 : « J’ai jugé que c’était vraiment insupportable et, par respect envers les employés communaux, qui ne sont pas là pour ramasser les déchets des habitants, c’était important de marquer le coup ».

    https://www.youtube.com/watch?time_continue=1&v=hJrk7gfq-Fg

     

    Plus de 2 mètres cubes d’ordures déversées devant le domicile de leurs propriétaires

    Si la méthode dite du « retour à l’envoyeur » a été plutôt appréciée des habitants de la commune, certains craignent cependant que le recours à de telles actions ne suscite une sorte de vindicte populaire. Mais comme Denis Rapinel, l’a précisé : « Si j’avais souhaité que la maison soit identifiable, ce n’est pas cette photo que j’aurais publiée. Essayez de comprendre l’exaspération d’un maire qui passe son temps à combattre ce style de comportements ». Pour l’heure, ce sont plus de 2 mètres cubes d’ordures qui ont été gracieusement retournés à leurs propriétaires respectifs, qui réfléchiront désormais à deux fois avant de jeter leurs déchets dans la nature.

    https://www.youtube.com/watch?time_continue=1&v=RGRfZwui4zI

     

    Article paru dans dailygeekshow

     


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  • Le nouvel enjeu de l’Ouest

    Les parcs éoliens offshore dans l’Ouest. | OUEST-FRANCE

     

    Un forum a réuni, jusqu’à hier, les acteurs de la filière des énergies marines renouvelables. Des milliers d’emplois sont à la clé, en conception, construction et maintenance.

    En quelques années, la technologie des éoliennes flottantes a considérablement progressé. Le FWP Atlantic forum, qui a lieu de mercredi à hier, à Brest et en Pays de la Loire, lui a été entièrement consacré. Et ce n’est pas un hasard.

    L’éolien offshore (en mer) est l’énergie marine la plus utilisée dans le monde. Le Danemark pose ses éoliennes de troisième génération. Des projets émergent, de la Scandinavie au Japon, de Taïwan au Canada. Sauf en France, qui accuse un retard important en la matière.

    En Pays de la Loire, les appels d’offres des deux premiers parcs posés  (voir infographie)  au large de Saint-Nazaire (480 MW) et entre l’île d’Yeu et Noirmoutier (496 MW) datent de 2011 et 2013. «  Il suffit de quelques personnes qui déposent un recours pour retarder un projet de trois ans, déplore Loïg Chesnais-Girard, président de la Région Bretagne. Il y a urgence à changer les textes.  » D’autant que les sites propices à une installation offshore posée sont limités.

     

    Carte à jouer

    Au large, il y a plus de vent et des projets qui génèrent moins de nuisances visuelles ou auditives. « Les conditions de l’Ouest sont représentatives à 80 % de celles qu’on peut retrouver un peu partout dans le monde », estime Laurent Schneider-Maunoury, président de Naval Énergies, qui y voit un laboratoire pour développer d’autres projets. Et un enjeu considérable pour la France, qui dispose du deuxième domaine maritime au monde.

    En Bretagne sud, le projet Eolfi de ferme expérimentale d’éoliennes flottantes entre l’île de Groix et Belle Île doit être mis en service en 2020. Plus au large, une zone de 500 km2 a été validée, le 6 juin, lors de la Conférence régionale mer et littoral. Elle est destinée à produire un gigawatt en 2030, soit la consommation électrique d’un million d’habitants.

    La Bretagne nord devra produire 0,5 gigawatt. Cela représentera en tout 30 % de la consommation électrique de la Bretagne.

    Les enjeux économiques sont considérables, à la hauteur des 220 millions d’euros investis par la Région Bretagne, à Brest, pour en faire une base pour les EMR (Énergies marines renouvelables). Des travaux sont en cours sur le polder où est aménagée une nouvelle zone de 40 ha entièrement dédiée à l’accueil de ces activités industrielles : éolien offshore posé ou flottant, hydrolien, houlomoteur, marémoteur…

    Dix-huit mois après le début du chantier, le futur terminal EMR brestois prend forme. Six hectares sont déjà disponibles. La construction du quai dédié progresse sans retard. C’est de ce polder que partiront les éoliennes d’Eolfi.

    Erquy (Côtes-d’Armor), Lorient (Morbihan), Saint-Nazaire (Loire-Atlantique) et Noirmoutier (Vendée) sont prévus comme ports de maintenance. Au large du Croisic (Loire-Atlantique), l’éolienne expérimentale Floatgen vient tout juste de produire son premier kilowatt ( O.-F.  de jeudi).

     

    Des erreurs à éviter

    Des groupes industriels sont prêts à investir, comme WPD Offshore France, producteur d’électricité renouvelable. La filiale française de ce groupe allemand qui gère des parcs éoliens terrestres et maritimes dans dix-huit pays a signé un partenariat avec la Région Bretagne lors du forum.

    À moyen terme, «  les éoliennes produiront de l’énergie pour transformer l’eau de mer en hydrogène que des bateaux viendront chercher pour faire fonctionner des voitures ou chauffer des maisons », détaille Dominique Moniot, directeur d’EMR Engie Green.

    « Pour l’éolien flottant, il s’agit de ne pas reproduire les mêmes erreurs qu’avec l’éolien posé », alerte Loïg Chesnais-Girard. Il est encore temps de prendre le bon cap « pour que nos éoliennes ne soient pas chinoises ».

     

    Article paru dans Ouest-France

     


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  • La « fée des dents », ou petite souris chez nous, n’est en compétition qu’avec le Père Noël en termes de popularité auprès des enfants. Elle est célèbre pour la tradition qui consiste à donner de l’argent en échange des dents de lait qui sont tombées. Aux États-Unis, la croyance en la «fée des dents» est devenue si courante que la croyance en elle est considérée comme un rite de passage montrant qu’un enfant « grandit ».

    La «fée des dents» ou petite souris est une figure fantastique de la petite enfance dans les cultures occidentales. Le folklore stipule que lorsque les enfants perdent une de leurs dents de lait, ils doivent la placer sous leur oreiller. La petite souris viendra pendant qu’ils dormiront, remplaçant la dent perdue par une petite somme d’argent. La tradition de laisser une dent sous un oreiller pour la souris (ou la fée) est vivace dans divers pays, autant en Amérique du Nord qu’en Europe. Bien évidemment, ce sont les parents qui remplacent la dent sous l’oreiller, mais il serait intéressant de savoir d’où vient cette légende.

     

    Vous l’avez sûrement attendue en étant petit…

     

     

    Le folklore

    Il n’y a pas de parallèle direct avec la petite souris dans beaucoup de folklores européens relatifs à la perte des dents de lait. Dans l’Angleterre médiévale, il était populaire de brûler les dents de lait d’un enfant. La raison était liée aux croyances sur l’au-delà. Une vieille superstition disait que si un enfant ne disposait pas de ses dents de lait correctement, la personne errerait dans l’au-delà pour l’éternité à leur recherche. Dans d’autres régions d’Europe, les enfants ont été encouragés à offrir leurs dents à des animaux, généralement des souris, ou à les jeter à l’air.

    Certains érudits du XIXème siècle trouvèrent cela intéressant et allèrent même jusqu’à suggérer que cette coutume était la preuve d’un paganisme vestigial sous la forme d’un culte du soleil. Il y a également des légendes en Europe qui associent la perte des dents à des sorcières. Dans certains cas, la raison de se débarrasser des dents est qu’une sorcière risquait de les trouver. Si une sorcière trouvait les dents d’une personne, on pensait qu’elle pourrait prendre le contrôle de cette personne.

     

    Vous l’avez sûrement attendue en étant petit…

     

    La légende de la petite souris à travers le monde

    Il existe cependant quelques légendes européennes qui ressemblent à la fée des dents américaine. Dans le nord de l’Europe, la fée des dents est enregistrée dans les écrits des Eddas, les premiers archives des traditions nordiques. Dans d’autres pays du monde, la légende de la fée des dents est décrite différemment. À Madrid, en 1894, par exemple, est né Ratoncito Perez (Petite Souris Perez), une figure devenue populaire dans les cultures hispanophones.

    Au Chili, au Mexique et au Pérou, il s’appelle « El Raton de los Dientes » ; tandis qu’en Argentine, en Colombie, en Uruguay et au Venezuela, il est connu comme étant « El Raton Perez ». En Italie, la fée des dents est également remplacée par une petite souris. En France et dans les régions francophones, on l’appelle littéralement « la petite souris ». Dans certains pays asiatiques, lorsqu’un enfant perd une dent, celle-ci est projetée en l’air et, ce faisant, l’enfant demande de la remplacer par la dent d’une souris. Cette tradition repose sur le fait que les dents des rongeurs se développent continuellement pendant toute leur vie.

    Il y a peu de détails sur l’apparence de la fée des dents. Environ 75 % des personnes croient que la fée des dents est une femme. Les descriptions les plus communes la décrivent comme une fée ressemblant à la fée Clochette de Disney, avec des ailes, une baguette, et beaucoup de poussière de fée. Mais certains décrivent la fée des dents comme un lapin ou une souris. D’autres descriptions sont celles d’un enfant avec des ailes, un lutin, une ballerine, un petit dragon ou même une hygiéniste dentaire.

     

    Bon ou mauvais pour les enfants ?

     

    Vous l’avez sûrement attendue en étant petit…

     

    Des études ont montré qu’en apprenant que la fée des dents n’est pas réelle, 75 % des enfants ont déclaré aimer la coutume, 20 % étaient neutres et 3 % n’y étaient pas favorables. Les parents ont tendance à considérer le mythe comme un réconfort pour les enfants qui perdent leurs dents. La recherche révèle que la croyance en la fée des dents peut effectivement apporter un réconfort à un enfant éprouvant de la peur ou de la douleur résultant de la perte d’une dent. Les mères, en particulier, semblent apprécier la croyance d’un enfant en la fée comme un signe que leur bébé est encore un enfant et qu’il ne grandit pas trop vite.

    Certains parents utilisent également la petite souris pour promouvoir une bonne santé dentaire, en disant aux enfants qu’ils obtiendront plus d’argent pour les dents saines que pour les dents cariées. De nos jours, la légende s’est largement répandue dans le monde entier, et de nombreux personnages fictifs d’Hollywood ont été directement inspirés par ce folklore. Ainsi, de plus en plus de parents pratiquent ce rituel, et la somme octroyée varie selon les pays et le statut socioéconomique des parents.

     

    Article paru dans dailygeekshow

     


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  • A Vendargues, un petit village de situé à la périphérie de Montpellier, les enfants peuvent se rendre à l’école…en calèche ! Une initiative originale qui fait le bonheur des plus petits.

    Deux carrioles tirées par des chevaux, 12 arrêts desservant cinq écoles pour les 120 enfants de la commune : la municipalité a mis les petits plats dans les grands pour cette nouvelle/ancienne façon de gérer le ramassage scolaire. Et la ligne pourrait encore se développer.

    A l’origine du projet, le constat que la voiture ne peut pas être la solution à tout en milieu périurbain. Dans cette bourgade si proche de la métropole héraultaise, la circulation automobile était devenue une nuisance à la fois écologique, urbaine, sonore…

    Et ça marche ! Le service de calèche a jusqu’à présent un bilan flatteur : diminution de la pollution de l’air, ralentissement de la circulation (et donc diminution du bruit comme du danger)… Surtout, parents comme enfants sont ravis de cette petite balade du matin autant que du contact avec les chevaux !

    https://www.youtube.com/watch?time_continue=1&v=7DJTKIC1P90

    Article paru dans Daily Geek Show

     


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  •    Vive le persil… Vos reins vous diront MERCI

     

    Vos reins filtrent le sang, mais retiennent le sel et des toxines. Au fil du temps le sel s'accumule dans les reins.

     

    Comment l'éliminer ?

    C'est simple, tout d'abord prendre une poignée de persil le laver puis le couper en petits morceaux et les mettre dans une casserole, ajoutez de l'eau (1 litre) et faire bouillir pendant dix minutes, laisser refroidir, verser dans une bouteille propre et réfrigérer.

    Buvez un verre tous les jours et voyez comment le sel et les toxines vont s'éliminer en urinant. Le persil est connu comme le meilleur traitement pour nettoyer les reins.


    Propriétés et nutriments dans le persil

     

    Il est un puissant antioxydant, rajeunissement de la peau.

    Contient de la bêta-carotène.

    Riche en minéraux comme le calcium, le phosphore, le fer et le soufre.

    Riche en chlorophylle, combat la mauvaise haleine, aide à purifier le corps des toxines et l'excès de graisse.

    Riche en vitamine C, empêche le cancer, des problèmes cardiaques, les cataractes, les infections et contribue à renforcer le système immunitaire du corps.

    Parce qu'il est riche en calcium, il est bien adapté pour prévenir
    l'ostéoporose au cours de la ménopause.

    Il est très bénéfique pour les enfants et les athlètes.

    Il est diurétique, aide à éliminer les fluides naturellement. Par cet attribut, il est utilisé pour traiter la haute pression artérielle.

    Haute teneur en vitamines et minéraux, il est idéal pour combattre et prévenir l'anémie, l'anorexie, la faiblesse générale, La fatigue physique et mentale.

    Idéal pour renforcer les cheveux et les ongles.

    Lutte contre les problèmes de peau.

    Utile contre les ulcères.

    Le persil contient un extrait huileux liquide appelé « apiol » qui est utilisé contre la fièvre intermittente.



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