• Fourmis, guêpes, araignées... 

     

    Dans le jardin, les insectes sont utiles. Mais à l'intérieur de la maison, ils le sont nettement moins... Pour les éloigner, plusieurs solutions naturelles existent.

     

    Les fourmis

    À l’extérieur, les fourmis contribuent au bon équilibre en dévorant vers, araignées et larves avant que ces petites bêtes ne s’attaquent à vos plantations. En revanche, les ouvrières doivent être chassées du foyer car elles transportent des germes.

    Les bonnes solutions :

    Disposez une petite coupelle avec du marc de café, des rondelles de citron ou des feuilles de basilic au niveau de leur point d’entrée dans la maison. L’ail aura également un effet répulsif sur les colonies. Dans les placards et les armoires, placez de la sauge verte et du camphre pour les faire fuir.

    Enfin, plus insolite, si vous tracez une ligne à la craie, il semblerait que les fourmis n’osent pas la franchir!

     

    Les guêpes

    En chassant bon nombre d’insectes, notamment les pucerons et les chenilles, les guêpes sont nécessaires au jardin. Mais à l’intérieur, elles sèment la pagaille. En cas de piqûre, le danger est réel pour les personnes allergiques au venin.

    Les bonnes solutions :

    Diffusez de l’huile essentielle de géranium, de lavandin ou de citronnelle. Des soucoupes remplies de clous de girofle disposées dans les pièces à vivre repousseront également ces insectes volants. L’odeur de la fumée du café poussera aussi les guêpes à faire demi-tour. Faites brûler du café moulu non utilisé. Versez-le dans une petite coupelle que vous installerez au niveau de vos ouvertures extérieures.

     

    Les mouches

    Attirées par la chaleur et l’humidité, les mouches s’introduisent dans votre habitat avec le retour des températures plus élevées.

    Les bonnes solutions :

    Comme les fourmis, les mouches ne supportent pas le basilic. Placez un plant ou quelques feuilles au bord des fenêtres. Les odeurs de vinaigre blanc, d’ail, de lavande ou d’eucalyptus rebutent égale- ment les mouches. Diluez des huiles essentielles ou réalisez une décoction avec ces substances.

    Autre possibilité : Plantez des clous de girofle dans un oignon, un citron ou une orange que vous placerez dans une coupelle. Répétez l’opération pour toutes les pièces de la maison chaque semaine.

     

    Les araignées

    Les toiles que les araignées tissent dans les coins et les fris- sons qu’elles causent à certains rendent leur présence intolérable dans la maison.

    Les bonnes solutions :

    Disposez des petits bouquets de feuilles de tomates au bord de vos fenêtres. Vous pouvez également en faire infuser quelques minutes dans de l’eau froide que vous vaporiserez à l’intérieur. La pierre d’alun est aussi un bon répulsif. Mélangez un litre d’eau et 80 grammes de pierre d’Alun en poudre dans un vaporisateur. Aspergez les bords des fenêtres et le cadre des portes.

     

    Article paru dans notretemps.com


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  • Astuce pour déboucher les canalisations


    Comment déboucher les canalisations ?

    Découvrez cette astuce de grand-mère simple et efficace pour déboucher les canalisations.

     

    Astuce de grands-mères

    1. Dans un seau, versez l’eau chaude.

    2. Diluez-y les cristaux de soude.

    3. Versez ce mélange dans vos canalisations bouchées.

    4. Laissez agir pendant 1 heure environ avant de faire couler l’eau pour rincer et nettoyer les canalisations.

     

    Ingrédients

     

    Équipement

    • Un grand seau

     

    Les conseils de nos grands-mères

    • Où trouver des cristaux de soude ? Vous pouvez acheter les cristaux de soude dans les magasins bio et certaines grandes surfaces (rayon lessive ou produits d’entretien).

    • Pour manipuler les cristaux de soude, protégez-vous les mains en portant des gants car les cristaux de soude peuvent être irritants pour la peau.

    • Évitez tout contact avec les muqueuses, la peau et les yeux.

     


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  • Le 23 août, c'est la fête de la Sainte-Rose. Si cette date est dédié au prénom Rose, c'est en l'honneur de la première sainte du Nouveau Monde, sainte Rose de Lima.

    Cette célébration permet de souhaiter une bonne fête à toutes celles qui portent le prénom de Rose, Roseline, Lili-Rose, Rosy, Romy ou encore Eglantine. Mais c'est aussi une jolie occasion de s'intéresser à la rose, reine des fleurs. Il y a beaucoup à dire sur cette fleur qui enchante la vue comme l'odorat…

     

    La rose sait faire passer le message !

    De multiples expressions mettent en scène la rose. Certaines sont plus positives que d'autres : mieux vaut être "frais comme une rose" que de "ne pas sentir la rose". La plupart de ces expressions font allusion à l'association entre la rose et l'amour : ainsi une "histoire à l'eau de rose" désigne une relation sentimentale , tandis qu'un célèbre proverbe prévient, en cas d'aventure passionnelle, qu' "il n'y a pas de rose sans épines"...

    Connaissez-vous l'expression "découvrir le pot aux roses" ? Son sens nous est connu, mais son origine reste mystérieuse. Certes, la rose symbolise le secret. Par conséquent, découvrir la rose, c'est découvrir un secret. Mais une autre explication est également crédible : le pot aux roses pourrait être le pot dans lequel les femmes mettaient leur fard ou leur parfum, symbole de séduction et d'aventure amoureuse.

     

     

    La rose étant depuis toujours étroitement associée au sentiment amoureux, elle multiplie les déclarations dans le langage des fleurs. La rose blanche est respectueuse et admirative, la rose rose fait passer un message de tendresse et d'amitié, la rose rouge déclare un amour enflammé... Mais attention à la rose jaune et aux malentendus qu'elle pourrait déclencher ! En effet lorsqu'elle est jaune, la rose demande pardon pour une infidélité.

    Le nombre de fleurs offertes a également une signification, mais retenons surtout qu'il faut offrir les roses par nombre impair, lorsqu'on en offre moins de dix, dans un souci purement esthétique. Un trio de roses est toujours plus élégant dans un petit vase que deux roses !

     

    La rose et le poète

    Dans la littérature et la poésie, la rose a souvent été utilisée pour évoquer la fragilité de la beauté. Ainsi fait Pierre de Ronsard dans le célèbre poème "Mignonne allons voir si la rose...", où il évoque le destin de la fleur, belle au matin et fanée le soir. Le poète en tire une morale pour guider la vie humaine :

    Vivez si m’en croyez, n’attendez à demain,

    Cueillez dès aujourd’hui les roses de la vie.„

     

    Les vertus de la rose

    La fête de la Sainte-Rose nous encourage à redécouvrir les vertus de la rose. En cosmétique, la rose est présente sous différentes formes : lotions d'eau de rose, huiles de massage à la rose, crèmes hydratantes à la rose. Riche en acides gras essentiels et anti-oxydante, l'huile de rose est cicatrisante et anti-rides. Ses nombreuses qualités la rendent indispensables à tous les types de peaux, y compris les peaux sensibles et les peaux à tendance grasse, qu'elle apaise et purifie.

    La délicate senteur de la rose est également présente dans de nombreux parfums. Enfin, les utilisations culinaires de la rose ne manquent pas. Avec les pétales de roses, on prépare des infusions, des sirops, des bonbons, des confitures... Alors pour la Sainte-Rose, mettez votre palais en fête et offrez-lui des douceurs à la rose ! Pour une belle soirée de la Sainte-Rose, mettez de la rose au menu puis invitez l'élu(e) de votre cœur à partager avec vous un bain chaud où vous aurez plongé des pétales de rose... Romantisme garanti !

     

    Sainte Rose de Lima

    Mais qui était sainte Rose de Lima à qui nous devons cette célébration du 23 août ? Première sainte du Nouveau Monde, elle est née en 1586, dixième enfant d'une famille modeste de Lima au Pérou. Sa vie austère, consacrée à la prière et dévouée aux plus pauvres, prit fin en 1617 alors qu'elle n'avait que 31 ans. Elle est la Sainte Patronne de l'Amérique Latine, du Pérou et des Philippines. Son culte est très répandu de par le monde, et elle a d'ailleurs donné son nom, entre autres, à une importante commune de Guadeloupe mais aussi à un quartier de Québec et une commune de La Réunion. Il faut savoir cependant qu'on ne la fête pas à la même date dans le monde : en Amérique du Sud, c'est le 30 août que la Sainte-Rose est célébrée, alors qu'en Europe c'est à la date du 23 août.

     

     


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  • Si l’on cherche en Europe, parmi les animaux,
    Ceux qui durant des siècles, nous firent don de leur chair
    Le porc est sans nul doute, il ne faut pas le taire,
    Celui qui préserva tous nos peuples de leurs maux.

     

    Car il fallait alors trouver des protéines
    Qui puissent alimenter, durant les longs hivers,
    Alors que les seigneurs écoutaient les trouvères,
    Ces nations affamées et qui pliaient l’échine.

     

    De Dublin à Moscou, d’Oslo à Palermo
    Après la paix romaine et les grandes invasions
    Quand tous ces peuples nomades cessèrent leurs incursions
    Et fixèrent leurs pénates dans les villes, les hameaux…

     

    Cet animal béni, bien plus que par les dieux,
    Pouvait alors trouver dans ce monde sédentaire
    Cette place d’honneur qui lui permit de faire
    Bouillir-e la marmite de tous les ventres creux.

     

    Car, n’oubliez pas – Amis ! – Qu’en ces temps reculés,
    Cette belle invention : la réfrigération
    N’avait pas encore cours, et la seule solution,
    Seul le sel, la donnait, vieille technique éculée.

     

    Ce sel qui aujourd’hui permet de conserver :
    Lard, jambon, saucisson et ces belles salaisons
    Comme aux temps de nos rois, pour qu’à chaque saison,
    On puisse goûter aux fruits de ces chairs préservées.

     

    Ces rois, qui en ces temps, nous accablaient d’impôts !
    Habitude non perdue par nos « princes » d’aujourd’hui
    Gardaient jalousement dans tous leurs entrepôts
    Ce sel indispensable, ce magnifique produit.

     

    C’est ainsi que ces grands, inventèrent la Gabelle,
    Impôt pris sur le sel pour contrôler sa vente,
    Comme de nos jours l’État conditionne la rente
    Des produits pétroliers, tombée dans l’escarcelle !

     

    Mais pour en revenir à ce cher animal
    Maintenant que nos peuples, sous le joug du halal,
    Se voient terrorisés, et c’est un moindre mal,
    Par des maires socialistes qui donnent leur aval

     

    Pour que dans les cantines et jusque dans les halles
    Le cochon soit banni et ce n’est pas banal,
    Remplacé par bovin, mouton ou la volaille
    Qu’il faudra (c’est la mode) saigner, afin que « tous » aillent
    Au paradis d’Allah !!!

     

    Mais justement voilà que cette bête décriée
    Par mon frère musulman
    ; voilà bien trois mille ans
    Qu’elle est bien sacrifiée, il faut donc le crier,
    Selon son « rite sacré »
    : égorgée dans son sang !

     

    Il faut bien le saigner pour bien le récolter
    Et préparer ainsi : boudin de Mortagne,
    Andouille de Vire, jambon d’Aoste, pâté de campagne…
    Le porc est donc halal ! Sans vouloir t’insulter !

     

    Et que deviendrait Toulouse sans son cassoulet ?
    Strasbourg, sans sa choucroute ? Arles, sans son saucisson ?
    L’Alsace, sans charcuterie ? L’Auvergne, sans salaisons ?
    Paris, sans jambon ? Obélix sans porcelet ?

     

    Refusons ce diktat, refusons le halal
    La nationalité, passe aussi par le ventre
    Français ! D’où que tu sois, du Nord, du Sud, du Centre
    Défends donc notre porc, notre viande nationale !

     

    Car voilà bien longtemps que cette chair est saine,
    Les règles sanitaires sont partout respectées.
    Dans notre vieille Europe, elle n’est plus suspectée,
    Quoiqu’en disent nos barbus sur les bords de la Seine.

     

    Ceux-là même qui un jour obligèrent à partir
    Mon ami charcutier, de la place de Lille
    Office qu’il occupa vingt ans, dans cette ville.
    Dès lors que la Mairie n’en fit pas un martyr.

     

    Et je pourrais finir en forme de boutade
    A mes risques et périls, puisqu’il ne faut en rire :
    « A mon copain Saïd, aux ancêtres nomades
    Je demandais un jour pourquoi cette viande inspire

     

    Tant d’anathèmes, tant de rejets, tant de haine ?
    C’est que vois-tu, dans le désert, c’est avec peine
    Que tu pourrais conduire un troupeau de cochons
    Ils partiraient, c’est sûr, dans toutes les directions.

     

    Alors que les moutons, Panurge en est la preuve
    Bien avant que Rabelais le conte dans son œuvre,
    Suivent aveuglément leur chef ou leur caïd… »
    Méditer cette pensée de mon ami Saïd…

     

    Pierre ESCANDE

    Né à Mascara en février 1942

    Oran (Algérie)

     


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  •  

    A lire ce style proche de Père Fection, on frise presque l'Abbé Attitude !!!

     


    Au Père Spicace,

     

    Un grand malheur est arrivé à l'abbaye et j'ai la pénible mission de vous en faire part.

     

    Mardi soir, pendant que l'abbé Nédictine donnait les dernières grâces, l'abbé Quille perdit l'équilibre dans l'escalier et tomba inanimé dans les bras du Père Iscope.

     

    Les révérends pères, en perdant l'abbé Quille, perdaient leur seul soutien.

     

    Un seul restait joyeux : le père Fide.

     

    Quant à l'abbé Tise, il n'y comprenait rien. Il aurait bien voulu que le saint Plet l'aide à comprendre ce qui s'était passé mais rien n'y fit.

     

    Après l'accident de l'abbé Quille, on alla chercher le Père Manganate et le Père Itoine, les deux médecins de l'abbaye.

     

    Ils pensaient ranimer le malheureux mais leurs efforts furent vains et celui-ci décéda peu après.

     

    Le lendemain fut donc célébré son enterrement.

     

    Chacun fut appelé à l'abbaye par les célèbres cloches du Père Sonnage.

     

    La messe fût dite sur une musique de l'abbé Thoven.

     

    Le père Ocquet fut chargé du sermon et comme il n'y avait pas de chaire, il monta sur les épaules du Père Choir.

     

    A la fin de l'homélie, le Père Cepteur fit la quête et remit les dons ainsi recueillis à notre frère africain : l'abbé N'Pé.

     

    Après la messe, une grande discussion s'engagea pour le transport de la bière :

     

    l'abbé Canne et l'abbé Trave voulaient passer par les champs.

     

    Le Père Clus s'y opposa.

     

    L'abbé Casse en fut enchanté.

     

    Le Père San avec sa tête de turc ne voulait rien entendre.

     

    Le Père Vers et le Père Nicieux semaient le doute dans les esprits.

     

    Finalement on décida que, comme à l'accoutumée, l'abbé Taillière serait chargé du transport du corps du défunt.

     

    Devant la tombe creusée par le Père Forateur et en l'absence du Père Missionnaire,

     

    l'abbé Nédiction donna l'absolution.

     

    Le Père Venche et l'abbé Gonia avaient joliment fleuri la tombe.

     

    Celle-ci fût recouverte d'une belle pierre tombale préparée par l'abbé Tonneuse.

     

    Sur le chemin du retour, le spectacle fut déchirant.

     

    Le Père Pendiculaire était plié en deux de douleur et de chagrin.

     

    L'abbé Vitré était lui aussi plein de larmes.

     

    La Mère Cédès , invitée pour l'occasion, fermait la marche en compagnie du frère du Père Igor.

     

    A l'arrivée, le Père Cil et l'abbé Chamelle préparèrent le repas tout en consultant les livres culinaires du Saint Doux.

     

    Le Père Nod et le Père Collateur servirent à boire et chacun put se remettre de ses émotions.

     

    L'abbé BICI

     


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