•    Vive le persil… Vos reins vous diront MERCI

     

    Vos reins filtrent le sang, mais retiennent le sel et des toxines. Au fil du temps le sel s'accumule dans les reins.

     

    Comment l'éliminer ?

    C'est simple, tout d'abord prendre une poignée de persil le laver puis le couper en petits morceaux et les mettre dans une casserole, ajoutez de l'eau (1 litre) et faire bouillir pendant dix minutes, laisser refroidir, verser dans une bouteille propre et réfrigérer.

    Buvez un verre tous les jours et voyez comment le sel et les toxines vont s'éliminer en urinant. Le persil est connu comme le meilleur traitement pour nettoyer les reins.


    Propriétés et nutriments dans le persil

     

    Il est un puissant antioxydant, rajeunissement de la peau.

    Contient de la bêta-carotène.

    Riche en minéraux comme le calcium, le phosphore, le fer et le soufre.

    Riche en chlorophylle, combat la mauvaise haleine, aide à purifier le corps des toxines et l'excès de graisse.

    Riche en vitamine C, empêche le cancer, des problèmes cardiaques, les cataractes, les infections et contribue à renforcer le système immunitaire du corps.

    Parce qu'il est riche en calcium, il est bien adapté pour prévenir
    l'ostéoporose au cours de la ménopause.

    Il est très bénéfique pour les enfants et les athlètes.

    Il est diurétique, aide à éliminer les fluides naturellement. Par cet attribut, il est utilisé pour traiter la haute pression artérielle.

    Haute teneur en vitamines et minéraux, il est idéal pour combattre et prévenir l'anémie, l'anorexie, la faiblesse générale, La fatigue physique et mentale.

    Idéal pour renforcer les cheveux et les ongles.

    Lutte contre les problèmes de peau.

    Utile contre les ulcères.

    Le persil contient un extrait huileux liquide appelé « apiol » qui est utilisé contre la fièvre intermittente.



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  • Cette commune a fondé une régie agricole 100 % bio pour approvisionner les cantines scolaires

     

    La santé des écoliers est quelque chose qui ne se négocie pas, et cette commune française l’a bien compris. A Mouans-Sartoux, la mairie a décidé de créer une régie agricole pour mettre les produits bio au menu de ses cantines.

    100 % de bio pour 100 % d’écoliers

    Située dans le département des Alpes-Maritimes, la commune de Mouans-Sartoux n’est pas loin d’être une exception culturelle. A l’heure où le bien manger est de plus en plus mis en avant, dans les établissements scolaires, les publicités télévisées, etc., la ville a mis en place depuis le 1er janvier 2012 une restauration scolaire 100 % bio grâce à ce qu’elle appelle une régie agricole.

    Le but est simple : utiliser un terrain de quatre hectares (agrandi à six depuis la mi-2016), qui devait à l’origine être utilisés pour des projets immobiliers, pour cultiver des fruits et légumes bio. Un potager sans pesticides et sans produits chimiques dont les fruits sont utilisés chaque jour pour approvisionner les cuisines des écoles de la ville.

    Ce sont ainsi mille repas quotidiens à servir dans la commune. « Il y a tellement peu d’agriculture pour répondre à la commande publique qu’il a fallu nous débrouiller nous-mêmes », explique Gilles Pérole, adjoint au maire de la commune et initiateur de cette régie agricole, à l’occasion d’un reportage pour l’émission Manger c’est Voter de la chaîne Public Sénat. « La proximité permet de cueillir les légumes le matin pour que les enfants les mangent à midi ». Ainsi, en plus d’avoir des légumes cultivés sans pesticides, ils arrivent frais dans les assiettes des écoliers.

     

    100 % bio pour approvisionner les cantines scolaires

    Une partie du domaine cultivable de la régie agricole de Mouans-Sartoux

     

    Objectif zéro gaspillage

    On estime à 10 millions le nombre de tonnes de nourriture gaspillée chaque année en France dans tous les domaines de la chaîne de distribution, dont 540000 tonnes rien que dans la restauration collective, où figure la restauration scolaire. « Toutes les restaurations collectives de France jettent à peu près un tiers de ce qu’elles cuisinent », raconte Gilles Pérole lors d’un reportage de l’émission Mille et Unes Vies.

    En plus de la création de cette régie agricole, la commune de Mouans-Sartoux a tout fait pour réduire son taux de gaspillage. « Quand on a commencé les pesées en 2010, il était de 149 grammes par repas. Et nous sommes maintenant à 30 grammes. Nous avons diminué de 80 % ». Un holà mis sur le gaspillage qui a également contribué à réduire de vingt centimes le coût de chaque repas.

     

    100 % bio pour approvisionner les cantines scolaires

    Les écoliers participent au triage des aliments non consommés lors des repas

     

    Un modèle pour le reste de la France ?

    A la question d’avoir une loi qui oblige les communes à posséder son propre potager bio pour approvisionner les cantines, Gilles Pérole répond qu’il faut aussi préserver des espaces agricoles proches des villes afin que celles-ci aient accès à un vivier de produits locaux et si possible bio. Mais il nuance tout de même : « C’est par ces petits gestes qu’on changera les choses. Je ne crois pas aux décrets d’État, aux changements qui viennent d’en-haut. Si chacun fait son action le monde changera. Et c’est un peu ce que l’on pratique à Mouans-Sartoux et on pourrait l’avoir sur la France, sur l’Europe, sur le monde ».

     

    100 % bio pour approvisionner les cantines scolaires

    Les cuisiniers à l’œuvre dans la cantine scolaire

     

    Produits d’origine contrôlée

    Les remarques sont en tous cas dithyrambiques de part et d’autre de la chaîne de production. Sébastien Jourde est l’agriculteur en charge des cultures : « Tout ce qu’on produit, même dans des calibres pas très standard, on sait où ça va. L’autre aspect positif, c’est le rapport aux cuisiniers, il y a beaucoup de retour. Je sais d’expérience quels légumes privilégier et ceux qu’il faut limiter ».

    Chez les enfants, l’initiative semble avoir finalement porté ses fruits et fait l’unanimité : « On mange des légumes et un peu de viande et c’est pas tous les jeudis qu’on a des frites. » ; « Ce qu’on mange, ça a été cultivé et directement pris, c’est pas passé dans un magasin. » ; « Pas de surgelés ou des choses qu’on trouve dans des grands magasins qui ont des conservateurs, des colorants. » Et si eux sont satisfaits d’avoir de beaux et bons produits dans leurs assiettes, c’est sûrement tout ce qui compte.

     

    100 % bio pour approvisionner les cantines scolaires

    Des écoliers participent à la récolte de pommes de terre

     

    Article paru dans Daily Geek Show


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  • Ce n'est pas si fantastique...

    Cash Investigation. Le recyclage du plastique

    CASH INVESTIGATION PLASTIQUE, LA GRANDE INTOX | FRANCE 2 / CASH INVESTIGATION

     

    Responsabilité des industriels, poids des lobbies, impact sur la santé. Avec « Plastique : la grande intox », Cash Investigation livre une enquête édifiante sur le recyclage massif du plastique : beaucoup de promesses, mais des stratégies souvent complètement à l’opposé.

     

    Pour son premier numéro de Cash Investigation, ce mardi 11 septembre, à 21 h sur France 2, la journaliste Élise Lucet tape fort avec une enquête fouillée sur le plastique, et notamment le recyclage, qui ne serait pas si prometteur qu’on pourrait le croire.

    Chaque seconde, on produit dix tonnes de plastique dans le monde. Toutes les deux secondes, une tonne finit dans l’océan. En 2050, il y aura donc plus de plastique que de poissons dans l’océan. Des multinationales ont pris l’engagement d’incorporer davantage de plastique recyclé dans la fabrication de leurs contenants.

    Mais l’enquête de Cash Investigation montre que ces belles promesses sont parfois loin d’être en adéquation avec les stratégies. La journaliste Sandrine Rigaud a enquêté pendant un an en France, aux États-Unis, en Tanzanie… Dans un film édifiant, elle souligne le poids des lobbyistes et montre leurs stratégies secrètes pour éviter toute mesure visant à limiter l’usage du plastique et même son recyclage.

     

    L'importance des lobbies

    « Le plastique est un sujet dont on parle beaucoup depuis six mois, souligne la réalisatrice, du fait des annonces gouvernementales » : recyclage de 100 % des plastiques d’ici à 2025, bonus-malus pour le consommateur qui payera plus cher une boisson dans un plastique non recyclé… « C’est la préoccupation environnementale la plus brûlante actuellement. Après avoir abusé du plastique, qui nous rend des services énormes, on est dans les années d’asphyxie. »

    Sandrine Rigaud met en lumière des liens très discrets qui existent entre des industriels de l’emballage et des associations de défense de l’environnement. Ainsi, l’association Gestes propres (dont les bénévoles ramassent les déchets dans la nature) est financée par des sociétés grandes utilisatrices de plastique pour leurs emballages (Coca-Cola, Danone, Nestlé, Haribo…). Le président de Gestes propres, Jean-François Molle, extrêmement embarrassé, admet ce financement… mais refuse de citer les entreprises.

     

    « Culpabiliser le consommateur »

    Pour la réalisatrice, l’objectif des industriels est de « culpabiliser le consommateur », de lui faire endosser la responsabilité de la pollution. « Le problème, ce sont les gens qui jettent les emballages n’importe où », réagit d’ailleurs un représentant de Coca-Cola.

    Les producteurs de plastique « mènent des stratégies de diversion pour que le mode de consommation et de production ne soit pas remis en cause, juge Sandrine Rigaud. Ils utilisent des associations, des paroles de scientifiques soi-disant indépendants, et n’arrivent pas en tant que lobbies de l’emballage, pour dire : « Continuons à produire autant de plastique. » C’est beaucoup plus subtil et insidieux. »

    Autre lien qui interroge : celui des lobbyistes des producteurs d’emballage avec Clean Europe Network (un réseau européen contre le dépôt sauvage des déchets). Les deux organisations siègent à la même adresse. Eamonn Bates, qui est à la fois secrétaire général de Clean Europe Network et lobbyiste pour les producteurs d’emballage, est très remonté contre la décision de la France visant à interdire la vaisselle plastique jetable à partir de 2020. Et menace de poursuivre le gouvernement français. Son argument laisse pantois : les gens n’auront plus de « scrupule » à abandonner leur vaisselle biodégradable n’importe où, soutient-il. Cela entraînera donc davantage de déchets « oubliés » dans la nature…

     

    Cash Investigation. Le recyclage du plastique

    CASH INVESTIGATIONPLASTIQUE, LA GRANDE INTOX | France 2 / cash Investigation

     

    Depuis plusieurs mois, Coca-Cola affirme son engagement pour « Un monde sans déchets » et un objectif de recycler, d’ici 2030, l’équivalent des bouteilles qu’elle commercialise (120 milliards chaque année). On comprend, dans l’enquête, que, dès 1970, la firme a commandé une étude comparant l’impact du verre et celui du plastique pour l’environnement. Aux États-Unis, les bouteilles de soda sont alors toutes en verre et consignées : l’entreprise collecte les bouteilles vides, les lave et les réutilise.

    L’étude conclut à la nette supériorité du verre sur le plastique pour l’environnement. « À cette époque-là, Coca-Cola a énormément d’avance, puisqu’elle lance la première étude d’impact environnemental, souligne Sandrine Rigaud. Mais elle met cette étude sous le tapis, et l’ingénieur qui l’a dirigée a interdiction d’en parler. Depuis cinquante ans, Coca-Cola sait donc qu’il y a un problème avec le plastique, mais l’enjeu était de continuer à en produire parce que c’est ce qui est le plus intéressant économiquement. Donc il fallait cacher le problème. »

     

    Enfin, l’enquête montre que le recyclage n’est pas la panacée. Déjà parce que recycler 100 % du plastique, « c’est impossible techniquement », soutient Sandrine Rigaud. Enfin, le plastique recyclé peut présenter des risques pour la santé. Pour fabriquer certains objets qui chauffent, comme des téléviseurs, des ordinateurs, des chargeurs, on ajoute en effet au plastique du brome, utilisé comme retardateur de flamme. Mais ce produit, un « polluant organique persistant » (POP), catalogué cancérigène probable, pourrait se retrouver, à des taux importants, dans des jouets fabriqués à base de plastique recyclé…

     

    Article paru dans Ouest-France


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  • Où l’on apprend comment élever son enfant sans frais.

     

    Afrique subsaharienne. À proximité d’une falaise de sable, un oiseau est à l’affût. Il s’agit d’un Grand Indicateur (Indicator indicator), un oiseau bien connu pour son goût prononcé pour pour la cire et les larves d’abeille. Pourtant, ce n’est pas un nid d’abeilles qu’il guette, mais les allées et venues d’un autre oiseau : le guêpier nain (Merops pusillus).

    À l’instant même où ce dernier quitte son nid, creusé dans la falaise, le Grand Indicateur s’élance à tire-d’aile. Pour lui c’est le moment ou jamais d’agir. Mais que fabrique-t-il ? Tenterait-il de lui voler ses œufs ?

     

    Ni vu, ni connu

    Grand Indicateur, 2013, photo : Wilferd Duckitt
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    Bien au contraire ! Avec précaution, l’oiseau s’installe dans le nid et pond un œuf à côté de ceux du guêpier. Aussitôt fait, le Grand Indicateur prend la poudre d’escampette.
    À leur retour, les propriétaires du nid (qui ne savent manifestement pas compter) ne s’aperçoivent de rien. Ils vont donc couver leurs œufs, ainsi que celui du Grand Indicateur.

     

    Ni vu, ni connu

    Un couple de guêpiers nains, Kenya, 2013, photo : Adam John Bourke
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    Deux semaines après, le jeune oiseau parasite est le premier à sortir de l’œuf. Les guêpiers vont le nourrir en continuant de couver les autres œufs jusqu’à leur éclosion quelques jours plus tard.

    Mais le jeune Indicateur n’aime pas la concurrence… Muni à la naissance d’un crochet sur son bec, il va utiliser cette arme redoutable pour tuer un à un les autres oisillons.

     

    Ni vu, ni connu

    Un oisillon de Grand Indicateur (Indicator indicator) attaquant un petit de guêpier nain (Merops pusillus). Photo : Image extraite d'une vidéo publiée par la Royal Society Voir en grand 

     

    https://www.youtube.com/watch?v=-fhYy319fmk&feature=player_embedded

     

    Sans se poser de questions, les parents adoptifs vont donc nourrir le jeune Indicateur, seul rescapé de la couvée, jusqu’à son émancipation. En grandissant, l’oiseau perdra le crochet de son bec devenu inutile.

    Ce comportement, appelé « parasitisme de couvée », bien connu chez le coucou gris (Cuculus canorus), permet à l’oisillon parasite l’exclusivité de repas copieux et une croissance assurée… Et ce, en libérant les parents légitimes de toute contrainte. Pratique !

     

    Ni vu, ni connu

    Rousserolle effarvatte (Acrocephalus scirpaceus) nourissant un oisillon coucou gris (Cuculus canorus), photo : Per Harald Olsen Voir en grand 

     

    Ni vu, ni connu

    Nicolas Huet et Jean Gabriel Prêtre, Indicateur à bec blanc, extrait du Nouveau recueil de planches coloriées d'oiseaux, 1838 Voir en grand 

     

    Article paru dans Sciencetips

     


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  • Ce médecin s’est amusé à compiler les citations hilarantes de ses patients

    Le jargon médical n’a pas les terminologies les plus faciles à comprendre ! La preuve, après plus de 30 ans de carrière, un médecin a décidé de recueillir tous les lapsus et toutes les approximations de vocabulaire de ses patients ! le DGS a sélectionné pour vous quelques-unes des meilleures citations.

    Michel Guilbert a plus de trente ans de carrière dans le domaine médical. Il a ausculté et écouté des milliers de patients. Il est alors arrivé, parfois, qu’un de ses patients lâche une expression scientifique un peu déformée, par lapsus ou pour d’autres raisons… mais qui fait sourire lorsqu’on l’entend ! Dans son livre intitulé C’est grave docteur ?, Michel Guilbert a réuni près de 200 citations toutes plus drôles les unes que les autres.

     

     

    Pendant 30 ans

    Pendant 30 ans

    Pendant 30 ans

    Pendant 30 ans

    Pendant 30 ans

    Pendant 30 ans

    Pendant 30 ans

    Pendant 30 ans

    Pendant 30 ans

    Pendant 30 ans

     

    Ces quelques citations m'ont fait hurler de rire, alors nous n’imaginons pas les autres perles que contient le livre de Michel Guilbert ! Bon, certains d’entre nous n’ont pas totalement adhéré à cet humour mais ont quand même souri face à certaines phrases comme le fameux « coma idyllique » :D. Et vous, laquelle de ces citations vous a le plus amusé ?

     

     


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