• Le miel, ce produit naturel pétri par les abeilles, possède bien des propriétés et apporte un goût sucré aux préparations alimentaires. Qu’est-ce que le miel, comment le conserve-t-on, comment est-il considéré à l’étranger ?

    Qu’est-ce que le miel ?

    Fabriqué par les abeilles à partir du nectar des fleurs, c’est un aliment qui possède une forte concentration en sucre. L’équivalent d’une cuillerée à café, soit environ 15 ml de produit, représente 65 calories, 0,1 gramme de protéines et 17,7 grammes de glucides. Cet or sucré ne possède en revanche ni lipides ni fibres alimentaires. Concernant les vitamines et éléments, il n’a jusqu’à lors jamais été possible de prouver que le miel pouvait contenir des nutriments. Les éléments présents ne remplissent aucun des critères scientifiques reconnus.

    Que fait-on avec du miel ?

    Le miel présente le même pouvoir sucrant que les autres sources de sucre, comme la canne à sucre ou la betterave. On peut donc l’utiliser facilement en cuisine.
    C’est un élément naturel auquel les fabricants n’ont le droit de ne rien ajouter. Au Canada par exemple, toutes les étiquettes doivent porter le nom de l’origine du miel, sa qualité ainsi que les fleurs qui ont servi à le réaliser.

    Les propriétés santé du miel

    Connu pour soigner et aider à lutter contre les petits et gros bobos de la vie quotidienne, le miel possède un certain nombre d’action sur le corps. Il aurait un effet prébiotique sur notre organisme, améliorant nos habitudes intestinales, ainsi qu’une action antioxydante contre les maladies cardiovasculaires. On le retrouve en prévention contre la prolifération des cellules cancéreuses et pour ses propriétés antibactériennes.

    Stockage et conservation

    Grâce à sa forte teneur en sucre, un pot de miel se conserve environ 2 ans dans un endroit frais et sec. S’il fait chaud pendant une longue période, mieux vaut placer le miel au réfrigérateur. De même, si la production n’a pas été pasteurisée, pour éviter le risque de fermentation, on conserve le miel à 10 degrés.


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  • Astuces pour nettoyer ses bijoux en argent


     Comment nettoyer et faire briller les bijoux ?

    Vos bijoux en argent sont noircis, oxydés ou ternis ? Munissez-vous d’une brosse à dents souple, d’une peau de chamois ou d’un chiffon très doux. Passez ensuite à l’action !

     

    Le bicarbonate de soude

    Mouillez une brosse à dents. Saupoudrez-la de quelques pincées de bicarbonate de soude. Frottez délicatement vos bijoux en argent, rincez-les à l’eau claire et essuyez-les à l’aide d’une peau de chamois.

    Le citron

    Frottez délicatement vos bijoux en argent à l’aide d’une brosse à dents imbibée de jus de citron. Rincez à l’eau claire. Essuyez avec un chiffon doux ou une peau de chamois.

    Le vinaigre blanc

    Laissez tremper vos bijoux en argent dans un verre rempli de vinaigre blanc pendant 2 heures. Rincez-les à l’eau et essuyez-les.

    La bière

    Laissez tremper les bijoux toute une nuit dans un bol rempli de bière. Le lendemain, rincez-les et essuyez-les avec un chiffon.

    Le dentifrice

    Mettez une petite dose de dentifrice sur votre brosse à dents. Frottez délicatement vos bijoux. Rincez abondamment sous l’eau froide. Essuyez avec un torchon ou une peau de chamois.

    La cendre

    Brossez vos bijoux en argent avec de la cendre. Rincez-les et frottez-les avec une peau de chamois.

    La mie de pain

    Frottez vos bijoux avec de la mie de pain est une vieille astuce de grand-mère pour faire briller un bijou en argent.

    Les conseils de nos grands-mères

    Si vos bijoux contiennent des pierres, frottez-les délicatement pour ne pas endommager celles-ci.

    Réservez une brosse à dents usagée spécialement pour le nettoyage de vos bijoux.


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  • Sur les toits d’immeubles ou en bordure de transports ferroviaires, l’agriculture urbaine a le vent en poupe ces dernières années, à tel point que ces potagers majoritairement particuliers s’inscrivent désormais dans de véritables projets civils. Preuve à l’appui, la RATP a signé un accord avec AgroParisTech pour développer une activité agricole sur ses sites franciliens, dans le cadre du Salon de l’Agriculture. Une grande avancée pour le projet « Parisculteurs » de la ville. 

     

    Pourquoi la RATP ? Quel objectif pour ce partenariat ?

    Si l’agriculture urbaine va occuper de vastes espaces de la ville de Paris dans les prochaines années, la RATP dispose des armes pour montrer l’exemple. En effet, en plus de posséder de nombreuses surfaces propices à l’agriculture urbaine, avec notamment une surface des toits des entrepôts plutôt conséquente, la RATP profite d’un environnement intéressant.  » Nous avons des entrepôts de bus, des immeubles de bureaux, des centres informatiques, des sites désaffectés qui peuvent accueillir des plantes, explique Guillemette Karpélès, directrice générale de la filière immobilière de la RATP.

     On peut aussi envisager d’utiliser la chaleur fatale émise par les data centers, ainsi que de récupérer les énormes volumes d’eau que la RATP est obligée de pomper tous les jours pour garder ses installations souterraines au sec afin d’arroser les plantations « , précise Christine Aubry, ingénieur de recherche à l’Inra et responsable d’une unité de recherche sur l’agriculture urbaine à AgroParisTech. En effet, si les bâtiments de la RATP pourraient accueillir dès 2020 4 hectares de végétalisation, dont un 1,4 hectare dédié à l’agriculture, la firme de transports attend d’AgroParisTech qu’elle leur dise ce qui est « raisonnablement possible de faire ».

     

    La RATP va développer l’agriculture en Île-de-France

    Toit d’AgroParisTech

     

     

    Vers des cultures souterraines

    Même les endroits les plus improbables, si vastes soient-ils, peuvent faire preuve de beaucoup de fertilité. D’ailleurs, la RATP possède de nombreuses galeries souterraines désaffectées susceptibles d’accueillir des plantations de champignons et d’endives entre autres. C’est là qu’intervient AgroParisTech, afin de faire l’inventaire des lieux propices à la végétalisation. Toutefois, la RATP n’est pas le seul acteur concerné. En effet, la ville de Paris qui avait lancé un premier appel à projet de « Parisculteurs » en novembre dernier pour végétaliser la capitale, a lancé un second appel le jour de la signature du partenariat entre la RATP et AgroParisTech.

    Ainsi, plus d’une trentaine de sites ont été identifiés que ce soit sur des toits de bâtiments, en sous-sol ou à l’intérieur de ceux-ci. À l’image du toit-terrasse du gymnase de la Cour des Lions dans le XIème arrondissement, les projets fonctionnent beaucoup à l’hydroponie où les plantes sont nourries et arrosées hors sol. Dans un autre registre, la start-up Cycloponics va faire pousser légumes et champignons au niveau -2 du parking abandonné d’une barre HLM de la porte de la Chapelle. Au total, le projet « Parisculteurs » prévoit la végétalisation de 100 hectares de bâtiments urbain d’ici à 2020.

     

    La RATP va développer l’agriculture en Île-de-France

    La Caverne, le projet de ferme urbaine souterraine développé par Cycloponics

     

     

    Jusqu’où ce projet peut-il aller ?

    Le rôle d’AgroParisTech est très important, et est sollicité sur des axes de recherche bien définis.  Nous examinons ainsi depuis deux ans la pollution des végétaux par les HAP et les métaux lourds présents dans l’air des villes afin de prévenir tout risque sanitaire spécifie Christine Aubry. Jusqu’ici nous n’avons rien constaté, mais les recherches se poursuivent. En effet, le but est de mesurer l’impact de la pollution atmosphérique urbaine sur les cultures maraîchères qui vont être installées sur 4 sites de la RATP dont son siège du Quai de la Rapée.

    De plus, d’autres programmes de recherche portent sur la caractérisation des sols urbains, le climat particulier des villes, l’impact des végétaux sur la qualité de l’air, l’utilisation des déchets ménagers comme compost, la création de systèmes alimentaires urbains. Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme !

     

    La RATP va développer l’agriculture en Île-de-France

    La ville de Paris pourrait compter 100 hectares de bâtiments urbain d’ici 2020

    Article paru dans Daily Geek Show


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  •  

    Il ne sert pas qu’à vous brosser les dents. Votre tube de dentifrice peut vous être utile, plus de trois fois par jour. Faire briller de l’argenterie, nettoyer votre salle de bain, rendre de l’éclat à vos chaussures, voici comment utiliser du dentifrice (en pâte et non en gel), astucieusement.

     

     

    Nettoyer la cuisine ou la salle de bain

    Dans ces deux pièces, le dentifrice peut faire office de nettoyant. Il peut aider à rattraper les joints un peu noircis. Appliquez la pâte sur les joints, laissez agir selon le degré de saleté, puis frottez avec une brosse avant de rincer.

    Au fond du lavabo de la salle de bain, la petite dose de dentifrice tombée de la brosse à dents peut être mise à profit. Frottez-la avec un chiffon doux puis rincez pour redonner de l’éclat au lavabo. Pareil avec la vitre de la douche. Pour lui rendre sa transparence, appliquez un peu de dentifrice avec un tissu humide puis frottez avant de rincer avec de l’eau. Magique !

     


     La robinetterie retrouvera son éclat en utilisant la même astuce. Un chiffon humide ou une éponge, une noisette de dentifrice, frotter, rincer, lustrer. Attention à ne pas abuser de cette technique sur les chromes. L’abrasif du dentifrice peut abîmer la finition.

     

    Raviver l’éclat des phares de voiture

    Moins cher qu’un kit pour nettoyer vos phares, le dentifrice peut aider à redonner de l’éclat à une optique terni, vieilli et rayé dont la luminosité a diminué. Il faudra peut-être plus d’un tube pour récupérer tous les phares de votre véhicule. Nettoyez-les d’abord au savon et à l’eau, puis étalez le dentifrice (en pâte, pas en gel), en couche épaisse. Vous pouvez ajouter du bicarbonate de soude pour accentuer l’effet abrasif. Frottez avec une brosse à dents pour bien nettoyer, ou avec un tissu, en effectuant de petits mouvements circulaires. Rincez en suite à l’eau chaude et frottez avec un tissu.

     

     

    De la même façon, le dentifrice peut redonner de l’éclat aux touches de piano.

     

    Retirer les traces de vernis à ongles

    L’odeur est plus agréable que celle du dissolvant. Pour retirer les restes de vernis à ongles, le dentifrice peut faire l’affaire. Appliqué en couche épaisse sur les ongles, puis frotté avec une brosse, le dentifrice retire les petites traces tenaces. Une fois rincé, il donne même de l’éclat aux ongles et les blanchit.

    Toujours sur les mains, le dentifrice permet de se débarrasser des mauvaises odeurs, comme après avoir émincé un oignon ou préparé un poisson.

     

    Polir le fer à repasser

    Les fers calcifiés peuvent retrouver de l’éclat. Appliquez du dentifrice sur la semelle du fer à repasser, frottez doucement jusqu’à ce qu’elle soit propre puis rincez avec une éponge pour retirer les restes de dentifrice.

     



    Nettoyer les taches sur les vêtements

    À condition qu’il s’agisse d’un tissu blanc, le dentifrice agit comme un détachant. Il suffit d’en appliquer une petite quantité sur la tâche en question et de frotter le tissu. Laissez le dentifrice absorber la tâche, puis grattez. Si la tâche est encore un peu visible, on peut recommencer avant de laver le vêtement en machine.

    Le dentifrice peut aussi redonner vie à des chaussures aux semelles blanches marquées par des traces noires.

     

    Rattraper un CD ou un DVD rayé

     



    Déçu de ne plus pouvoir écouter votre CD préféré ? Le dentifrice appliqué sur un CD préalablement nettoyé peut faire disparaître les petites rayures (pour les plus grosses rayures, c’est impossible). Appliquer le dentifrice (sans grains) au doigt sur toute la partie brillante du disque, laisser agir 5 minutes puis rincer le CD à l’eau claire. Sécher soigneusement.

    Le dentifrice peut aussi sauver les écrans de téléphones portables ou de consoles de jeu. Frotter les écrans avec du dentifrice sur un chiffon doux ou un coton, puis essuyer avec un chiffon propre.

     

    Nettoyer des traces de crayon sur le mur

    Si le petit dernier a décidé de refaire la déco de sa chambre avec des dessins au marqueur, pas de panique. Du dentifrice blanc et un chiffon peuvent venir à bout des traces de crayons, feutres, ou stylos. Avec un chiffon propre, appliquez le dentifrice en faisant des cercles puis essuyez les résidus de dentifrice. Voilà !

     

    Assécher des boutons

    L’astuce est plutôt connue. Pour faire disparaître un bouton plus rapidement et réduire l’inflammation, appliquer du dentifrice dessus. Attention, le bouton ne doit pas présenter de lésions. La peau doit être nettoyée avant d’appliquer la pâte à l’aide d’un coton-tige. Laisser poser plusieurs heures avant de rincer pour que le dentifrice assèche vraiment bien le bouton. Il est conseillé de bien hydrater la peau les jours suivants.

    Article paru dans Ouest-France


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  • Le fantôme de l’Opéra Garnier


     

    On connait tous la légende du fantôme de l’Opéra Garnier… mais d’où vient cette légende parisienne et qui est ce fameux fantôme dont la loge numéro 5 existe toujours ?

    Tout commence le 28 octobre 1873 : un jeune pianiste aurait eu le visage brûlé dans l’incendie du conservatoire de la rue Le Peletier. Sa fiancée, une ballerine du conservatoire, y aurait alors perdu la vie. Inconsolable et défiguré, il aurait trouvé refuge dans les souterrains de l’Opéra Garnier, alors en pleine construction.

    C’est donc à l’intérieur du palais Garnier que l’homme, Ernest, séjourna jusqu’à sa mort. Il aurait d’ailleurs vécu à proximité du lac présent sous l’Opéra et servant de réserve d’eau en cas d’incendie. Il consacra la fin de sa vie à son art et à l’achèvement de son œuvre, un hymne à l’amour et à la mort. Celui-ci serait mort dans les sous-sols. Son cadavre n’ayant jamais été retrouvé, on pense qu’il fut confondu avec les corps des communards.

    Mais l’histoire va prendre un autre tournant en 1910. Un écrivain, Gaston Leroux, s’inspire alors de la légende et de plusieurs évènements troublants pour écrire son célèbre roman : Le Fantôme de l’Opéra.

     

    Le fantôme de l’Opéra Garnier

     Le Fantôme, peinture à l’huile d’Anne Bachelier 

     

    Dans l’avant-propos, voici d’ailleurs ce qu’il y écrit : « On se rappelle que dernièrement, en creusant le sous-sol de l’Opéra pour y enterrer les voix phonographiées des artistes, le pic des ouvriers a mis à nu un cadavre. Or, j’ai eu tout de suite la preuve que ce cadavre était celui du Fantôme de l’Opéra ! J’ai fait toucher cette preuve, de la main, à l’administrateur lui-même, et maintenant il m’est indifférent que les journaux racontent qu’on a trouvé là une victime de la commune ».

    L’histoire fait alors le tour du monde. Dans son roman, Gaston Leroux parle du mystérieux occupant des souterrains du Palais Garnier. Mais, loin d’avoir inventé cette histoire, l’auteur s’est inspiré dévènements inexpliqués que l’on attribue à Ernest le pianiste dévoré par les flammes.

    Le 20 mai 1896, dans les fastes du Palais Garnier, le grand lustre de la salle se décroche et tue un spectateur pendant une représentation du Faust de Gounod. La légende rapporte que ce spectateur était assis à la place numéro 13.

     

    Le fantôme de l’Opéra Garnier

     

    Par la suite, une série de phénomènes étranges accrédite la présence du fantôme : un machiniste est retrouvé pendu, on aurait pu conclure à un suicide, sauf que la corde manque !  Peu après, une danseuse perd la vie après une chute depuis une galerie.

     

    Le fantôme de l’Opéra Garnier

     

    Mais, plus étrange encore, une jeune chanteuse, Christine Daaé, soprano, aurait dit avoir rencontré le fameux Fantôme de l’Opéra. Elle deviendra sa favorite, et il lui donnera des cours de chant, en se faisant passer pour l’Ange de la musique. L’amour platonique du fantôme empêchera la jeune femme, par peur, de tomber amoureuse  du vicomte de Chagny.

    Dernière anecdote insolite, les directeurs de l’époque étaient contactés par un individu exigeant qu’on lui remette 20 000 francs par mois et qu’on lui réserve la loge numéro 5 … (une loge toujours visible aujourd’hui à l’Opéra !)

      

    Le fantôme de l’Opéra Garnier

    Crédit photo Fantôme de l’Opéra : Edouard Bergé

    Article paru dans Paris Zig Zag


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