• Il trouve une alliance dans une cosse de haricot !
    Des cocos de Paimpol. Photo Ouest-France / Philippe Renault

    Il trouve une alliance dans une cosse de haricot !

     

    Pas banale, la trouvaille : un habitant de Lanester (Morbihan) a découvert une alliance dans une cosse de cocos.

    « Mercredi, je regardais la télé, tout en écossant des haricots blancs, des cocos, raconte Dominique, qui habite Lanester. Je faisais ça un peu machinalement, quand j’ai senti sous les doigts quelque chose de dur. J’ai regardé plus attentivement et j’ai découvert une alliance sur un haricot… ! »

     

    « Pascal et Valérie »

    Il s’agit d’un anneau très fin et doré, ciselé, d’un diamètre modeste. Avec deux prénoms gravés à l'intérieur: « Pascal et Valérie ». Ainsi que ce qui ressemble à une date, mais incomplète : 31 et 05 (31 mai) ? Mais quelle année ?

     

    Mystère

    Comment cette alliance a pu se retrouver dans une cosse de haricot ? Mystère. Les légumes, achetés en vrac, proviennent du centre Leclerc de Lanester. Ce sont des Cocos de Paimpol.

     

    Retrouver la propriétaire

    Dominique suppose que l’alliance « était dans la terre et le haricot a poussé. Ce serait bien de retrouver les propriétaires. Ou la propriétaire, car c’est une petite alliance faite pour un tout petit doigt… »

     

    Avec ces quelques indices, l'appel est lancé !


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  • Aïeux Bretons et Normands 

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    Annuaires des blogs généalogiques 

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    Archives publiques et libres 

    http://www.archivespubliqueslibres.com 

     

    Blog de l'histoire des villages 

    http://www.jeanlouis-garret.fr/Les_Blogs_Histoires_des_Villages.html 

     

    De Bretagne en Saintonge 

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    Eklablog 

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    Histoires de Bretagne 

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  • Une femme conduit un fiacre dans le bois de Boulogne, en 1914. | Archives SPA.

    Le 9 juin 1866, le préfet de la Seine autorise le débit de viande de cheval. La première boucherie ouvre dès le 9 juillet, avec l’aval de la SPA.

    Depuis le XVIIe siècle, la consommation de cheval était explicitement interdite, même si elle se pratiquait, surtout en période de disette. Mais par sa proximité avec l’homme, la consommation de cet animal noble a de tout temps été marginale.

    Le débat est lancé dans les milieux intellectuels au début du XIXe siècle. Le naturaliste Geoffroy Saint-Hilaire considère qu’elle peut apporter une alimentation carnée à ceux qui en sont privés. De nombreux médecins et vétérinaires plaident en ce sens : manger du cheval serait donner de la viande au peuple, raconte Damien Baldin dans sa passionnante Histoire des animaux domestiques. (Seuil).

    La SPA fait alors la promotion de la viande de cheval

    La SPA, créée en 1845, et reconnue d’utilité publique en 1860, est saisie de la question. Une majorité de ses adhérents, alors essentiellement masculins et issus de la bourgeoisie, estime que les arguments « utilitaires » sont les meilleurs garants de la protection animale: un animal bien soigné sera d’un meilleur rendement.

    Ainsi, un propriétaire d’un cheval de travail motivé pour vendre son animal à un boucher sera peut-être incité à mieux le traiter. De plus, cela éviterait un gaspillage inutile.

    En 1850, en effet, la première loi de protection animale, la loi Grammont, dénonce la violence sur les animaux dans les lieux publics. Elle vise plus particulièrement les brutalités des charretiers (le cheval est omniprésent dans la ville) et prend moins en compte la souffrance animale que la sensibilité du spectateur involontaire. Dans un contexte où le pouvoir se méfie du peuple et cherche à réguler la violence quotidienne.

    Grand succès de cette viande à la fin du XIXe siècle

    La consommation de viande de cheval a connu un grand succès à la fin du XIXe siècle et a décru exponentiellement depuis la Seconde Guerre mondialeLe scandale récent de la viande de cheval a eu une telle ampleur parce qu’il « s’agissait justement de viande de  cheval » souligne Damien Baldin. La répulsion d’un partie importante de la population pour la consommation de cet animal : « cela montre bien que le statut du cheval a glissé d’animal de domestique à animal de compagnie ».

    Article paru dans Ouest-France le 18/02/2014


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  • Tout commence en janvier 1686, où Louis XIV tombe subitement malade.

    Il semble qu'il se soit piqué en s'asseyant sur une plume des coussins qui garnissaient son carrosse, déclenchant un abcès à l'anus, qu'il aurait fallu immédiatement inciser pour éviter que la blessure ne s'infecte. Mais les médecins du roi, épouvantés à l'idée de porter la main sur le fondement de la monarchie, optèrent pour des médecines douces, type onguents. Ces méthodes ne donnèrent aucun résultat.

    Tout cela dura près de 4 mois et les douleurs royales ne cessaient pas !

    Brusquement, vers le 15 mai, les chirurgiens, verts de peur, soupçonnèrent l'existence d'une fistule. Ce fut l'affolement général. Finalement, le 1er chirurgien Félix de Tassy (appelé simplement FELIX) décide d'inciser et "invente" un petit couteau spécial, véritable pièce d'orfèvrerie dont la lame était recouverte d'une chape d'argent.

    Mais il fallut encore 5 mois pour fabriquer ce petit bijou...

    L'opération eut lieu le 17 novembre sans anesthésie ! Il faudra encore 2 autres incisions (la plaie ayant du mal à se refermer pour cicatriser) pour qu'enfin à la Noël 1686, on puisse déclarer que le roi était définitivement sorti d'affaire...et mettre fin aux rumeurs qui, à l'étranger, se propageaient disant que Louis XIV était à l'agonie.

    Dès l'heureuse issue de l'intervention connue, des prières furent dites dans le royaume et les dames de Saint-Cyr (création de Mme de Maintenon devenue épouse morganatique) décidèrent de composer un cantique pour célébrer la guérison du roi.

    La supérieure, Mme de Brinon (nièce de Mme de Maintenon) écrivit alors quelques vers assez anodins qu'elle donna à mettre en musique à Jean-Baptiste Lully :

    Grand Dieu sauve le roi !

    Longs jours à notre roi !

    Vive le roi... A lui victoire,

    Bonheur et gloire !

    Qu'il ait un règne heureux

    Et l'appui des cieux !

    Les demoiselles de Saint-Cyr prirent l'habitude de chanter ce petit cantique de circonstance chaque fois que le roi venait visiter leur école.

    C'est ainsi qu'un jour de 1714, le compositeur Georg Friedrich Haendel, de passage à Versailles, entendit ce cantique qu'il trouva si beau qu' il en nota aussitôt les paroles et la musique. Après quoi, il se rendit à Londres où il demanda à un clergyman nommé Carrey de lui traduire le petit couplet de Mme de Brinon.

    Le brave prêtre s'exécuta sur le champ et écrivit ces paroles qui allaient faire le tour du monde :

    God save our gracious King,

    Long life our noble King,

    God save the King!

    Send him victorious

    Happy and glorious

    Long to reign over us,

    God save the King !

    Haendel remercia et alla immédiatement à la cour où il offrit au roi - comme étant son œuvre - le cantique des demoiselles de Saint-Cyr.

    Très flatté, George 1er félicita le compositeur et déclara que, dorénavant, le "God save the King" serait exécuté lors des cérémonies officielles.

    Et c'est ainsi que cet hymne, qui nous paraît profondément britannique, est né de la collaboration :

    - d'une Française (Mme de Brinon),

    - d'un Italien (Jean-Baptiste Lully -ou Lulli-) naturalisé français,

    - d'un Anglais (Carrey),

    - d'un Allemand (Georg Friedrich Händel -ou Haendel-) naturalisé britannique, et...

    d'un trou du c… Français, celui de sa Majesté Louis XIV.

    Un hymne européen, en fait !

     

    Si Louis XIV ne s'était pas mis, par mégarde, une plume dans le « derrière », quel serait aujourd'hui l'hymne britannique ? Pourrez-vous désormais écouter "God save the Queen" sans penser à cette petite plume... ? ? ?


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  • Le plus grand arbre de Noël du monde est italien

    L'arbre de Noël

    Le sapin de Noël de Gubbio est formé de 1 000 points lumineux de couleurs différentes

     

    Dans le village de Gubbio en Italie, cette structure à flanc de colline est le plus grand arbre de Noël du monde selon le Guinness World Records.

    Le plus grand arbre de Noël du monde, composé de centaines d'ampoules disposées à flanc de colline, a été allumé samedi soir, dans le joli village médiéval de Gubbio en Ombrie, dans le centre de l'Italie. 

    Les lumières activées par tablette numérique 

    "Le sens de cet événement c'est de recueillir un beau message, celui que le pontificat du pape François a décidé de mettre en avant, à savoir l'attention vis-à-vis des plus pauvres", a souligné le père Francesco Soddu, directeur de l'organisation Caritas Italie.

    Cette attention "doit se manifester surtout à travers la solidarité", a estimé le responsable qui a déclenché à l'aide d'une tablette numérique l'activation de l'arbre géant, devant des centaines de curieux dont beaucoup d'enfants. 

    Le plus grand du monde depuis 1991 

    Le sapin de Noël de Gubbio surmonté d'une étoile filante, né de l'initiative de bénévoles en 1981, est depuis 1991 considéré par le Guinness World Records comme le plus grand du monde avec une hauteur maximale de 750 mètres et une largeur de 450 mètres.

    Il s'agit en fait d'une structure basée sur près de 1 000 points lumineux de couleurs différentes (reliés par 8 500 mètres de câbles électriques), formant la silhouette d'un sapin, sur une colline dominant le village de Gubbio, à 230 km au nord de Rome.


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