• Cofondateur et ex-directeur général d'APPLE, Steve Jobs est décédé il y a 4 ans. Il reste un MYTHE. Père du Mac, de l’IPhone, de l’IMac, de l’IPad et de la souris.


    Voici un texte qu'il composa avant sa mort....
     
    Un testament édifiant.
     
    J'ai atteint le sommet du succès dans les affaires.
    Aux yeux des autres, ma vie a été le symbole du succès.
    Toutefois, en dehors du travail, j'ai eu peu de joie. Enfin, ma richesse
    n'est rien de plus qu'un fait dans lequel je me suis habitué.
    En ce moment, allongé sur le lit d'hôpital et me rappelant toute ma vie,
    je me rends compte que tous les éloges et les richesses dont j'étais si
    fier, ont été transformés en quelque chose d'insignifiant devant la mort
    imminente.
    Dans l'obscurité, quand je regarde les feux verts de l'équipement de la
    respiration artificielle et que j’entends le bourdonnement de ses sons
    mécaniques, je peux sentir le souffle de la proximité de la mort qui
    m'attend.
    C'est seulement maintenant que je comprends. Une fois qu'on a accumulé
    assez d'argent pour le reste de sa vie, que nous devons poursuivre
    d'autres objectifs qui ne sont pas liés à la richesse.
    Ils doivent être quelque chose de plus important :
    Par exemple, les histoires d'amour, l'art, les rêves de notre enfance...
    Dieu nous a formé d'une manière que nous pouvons sentir l'amour dans le
    cœur de chacun de nous, et pas les illusions construites par la
    célébrité ou l'argent que j'ai gagné, je ne peux pas les emmener avec moi.
    Je ne peux emporter avec moi que les souvenirs qui ont été renforcés par l'amour
    C'est la vraie richesse qui vous suivra, qui vous accompagnera et vous
    donnera la force et la lumière pour aller de l'avant.
    L'amour peut voyager à des milliers de kilomètres et c'est ainsi. La vie
    n'a pas de limites. Bouge-toi où tu voudras. Fais de ton mieux pour
    atteindre les objectifs que tu souhaites atteindre.
    Tout est dans ton cœur et dans tes mains.
    Quel est le lit le plus cher du monde ? Le lit d'hôpital.
    Vous, si vous avez de l'argent, vous pouvez engager quelqu'un pour
    conduire votre voiture, mais on ne peut pas embaucher quelqu'un pour
    prendre sa maladie. Les choses matérielles perdues peuvent se retrouver.
    Mais il y a une chose que vous ne pouvez jamais trouver quand on perd sa vie
    Quelle que soit l'étape de la vie dans laquelle nous sommes en ce moment,
    au final, nous allons devoir affronter le jour où le rideau tombera.
    Faites un trésor de l'amour pour votre famille, de l'amour pour votre
    mari ou femme, de l'amour pour vos amis...
    Que chacun agisse avec amour et occupez-vous de votre prochain.


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  • L’utilisation du mètre causait la décadence de l’architecture 
     

    En 1859, Le Figaro s’amuse à souligner dans une chronique que l’abandon des anciennes mesures duodécimales au profit du mètre est à l’origine d’une architecture pratique, efficace mais sans génie.

     

    L’utilisation du mètre causait la décadence de l’architecture

     

    En ce 3 septembre 1859, Le Figaro percevait déjà la « décadence de l'architecture moderne ». Mieux que cela, il en avait décelé la cause. Une origine insoupçonnée : l’adoption du système métrique, dont le principe avait été adopté dès la Révolution française en 1789. Le chroniqueur Paul d’Ivoi y fait cette découverte lors d’un congrès d’archéologie qui se tenait à Strasbourg.

    « C’est notre funeste système décimal des poids et mesures qui a tué l’architecture, écrit-il. Le système décimal est commode, il est vrai, pour compter, pour multiplier, pour diviser il est exact, il rend impossible les fraudes, il est uniforme et régulier, il a des avantages incontestables, il n’est funeste qu’à l’architecture. L’ancien système de mesures, au contraire, le système duodécimal, le pied, se divisant en douze pouces, le pouce en douze lignes, le sou en douze deniers, etc. était favorable à l’architecture. »

    « Quiconque a adopté le système décimal n’a pas la foi, et ne peut pas faire un bon architecte. »

    Et pourquoi donc ? Tout simplement parce que 10 n’est divisible que par 1, 2 et 5 alors que 12 serait «un nombre sacré». « C’est le nombre des apôtres il est divisible par un, par deux, par trois, par quatre et par six, poursuit l’article. Trois est le nombre sacré par excellence, c’est le nombre divin ; c’est de l’idée de la Trinité que découle l’ogive, gloire de l’architecture gothique. Quiconque a adopté le système décimal n’a pas la foi, et ne peut pas faire un bon architecte. »

    Concluant son explication, l’article relate la mésaventure d’un architecte  strasbourgeois, défenseur du mètre. « Vous mesurez vos constructions avec un mètre et non pas avec une toise ? Allez, vous n’avez pas la foi ; vous ne pouvez être qu’un architecte de décadence. » Voilà pour ceux qui ignoraient les malheurs que nous a attirés le mètre.


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  •  On ne les a jamais présentés comme ça

     

    Un rat ? Des goûts

    Un cas ? Des colles

    Un pont ? Des râbles

    Un flagrant ? Des lits

    Une voiture ? Des mares

    Un évier ? Des bouchers

    Un scout ? Des brouillards

    Un bond ? Des buts

    Une dent ? Des chaussées

    Un air ? Des confits

    Un beau ? Des cors

    Un mur ? Des crépis

    Un vrai ? Des dalles

    Un valet ? Des curies

    Un drogué ? Des foncés

    Une jolie ? Des gaines

    Un crâne ? Des garnis

    Un frigo ? Des givrés

    Une moue ? Des goûters

    Un brusque ? Des luges

    Un ministre ? Des missionnaires

    Une grosse ? Des panses

    Un propos ? Des placés

    Une cinglante ? Des routes

    Un fâcheux ? Des agréments

    Un patron ? Des spots

    Un délicieux ? Des cerfs

    Une bande ? Des cinés

    Un sirop ? Des râbles

    Un argent ? Des tournées

    Un voleur ? Des valises

     

    Et ne pas oublier...

    Une bière ? Des haltères !!! 


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  • Chaque nouvelle année apporte son lots de résolutions. Mais pas seulement. Manger des lentilles, porter des sous-vêtements rouges ou bien s'embrasser sous le gui... Le réveillon du Nouvel an est aussi le théâtre de coutumes insolites qui perdurent au fil du temps. Vous êtes superstitieux ? Voici le top dix des rituels à ne pas manquer pour passer une belle année.

     

    1 - S'embrasser sous le gui

    Le fameux baiser, d'amour ou d'amitié, sous le gui aux douze coups de minuit, est une coutume très ancienne du Nouvel an. L'habitude d'accrocher du gui à l'entrée des maisons provient de nos ancêtres celtes. À l'époque l'expression « o ghel an heu », en celte « que le blé germe », était la formule prononcée par les druides au solstice d'hiver lorsqu'ils coupaient le gui sacré. Au fils du temps, la formule des druides a été transformée pour devenir « au gui l'an neuf » pour se souhaiter la bonne année.

     

    Dix superstitions étonnantes du Nouvel An

    Ne pas confondre le gui, dont les fruits sont blancs, avec le houx, dont les fruits sont rouges. (Photo: Wikimédia)

     

    De nos jours, les couples qui s'embrassent sous le gui seraient promis à un mariage dans, l'année ! Ce rituel est aussi gage de santé, de longue vie, de bonheur, de fertilité et de bonne entente dans le couple

     

    2 – Manger des lentilles

    Après la soupe pour grandir, les lentilles pour devenir riche... Pour obtenir prospérité et abondance, les italiens recommandent de consommer ces graines le 1er janvier. Cette tradition remonte à l'époque où il était d'usage d'offrir à la Saint-Sylvestre une petite bourse pleine de lentilles, en faisant le vœux que chacune d'elles se transforme en pièce de monnaie.

     

    3 – Avaler douze grains de raisin

    On reste dans les assiettes, mais du côté de l'Espagne où il est coutume, lors du passage à la nouvelle année, de manger un raisin à chaque coup de minuit. Soit douze grains ! Chacune des bouchées représente un mois de l'année. Dans la mythologie grecque, la vigne est considérée comme l'arbre de vie. Le raisin symbolise donc la fertilité et l'abondance pour la nouvelle année. Attention, veillez à ne pas croquer le premier grain trop tôt : chaque grain avalé en avance équivaut à un mois de malchance !

     

    4 – Du champagne derrière l'oreille

    En Belgique, se frotter derrière les oreilles avec quelques gouttes de champagne tout an formulant un vœu porte chance. Avec un verre de champagne, il est aussi possible de suivre un rituel venu de Russie : à minuit, écrire un vœu sur un morceau de papier, le brûler puis le jeter dans une coupe de champagne et le boire avant que les aiguilles ne se placent sur 00h01. Une coutume qui peut brûler les lèvres...

     

    Dix superstitions étonnantes du Nouvel An

    « La superstition est l'art de se mettre en règle avec les coïncidences » disait Jean Cocteau

     

    5 – Porter de la lingerie rouge

    C'est certainement la plus coquines des coutumes. La tradition exige que les femmes portent des sous-vêtements rouges (que ce soit une culotte de grand-mère ou un string en dentelles) la nuit de la Saint-Sylvestre ! Cette tradition venue d'Italie assure argent et amour pour l'année à venir... Petit détail non négligeable : pour que la magie opère, la lingerie en question doit impérativement être jetée le lendemain.

     

    6 – Prendre un bain de minuit

    Plouf ! Le principe est simple : faire un plongeon dans la mer le 1er janvier permet de se purifier et de se débarrasser des mauvaises ondes accumulées pendant l'année. Le bain de nuit préserve la santé pour les douze mois à venir. Dans de nombreuses régions de France, beaucoup de courageux se jettent à l'eau malgré les températures souvent glaciales. Une bonne façon de commencer l'année avec la tête froide !

     

    7 – Des pétales de roses dans le lit

    Afin de trouver le véritable amour, une coutume consiste à mettre des pétales de roses dans le lit et allumer une chandelle rose dans la chambre. Pour ceux qui l'ont déjà (l'amour, le vrai), ce rituel tiens toujours, il permet de garder à vie votre bien-aimé (e).

     

    Dix superstitions étonnantes du Nouvel An

     

    8 – Faire le tour du quartier avec une valise

    En Colombie, celui qui souhaite voyager toute l'année doit courir autour de son pâté de maisons un valise à la main à minuit pile. Les pays d'Amérique Latine sont particulièrement friands des traditions saugrenues du Nouvel an.

     

    9 – Cacher des pièces de monnaie

    Pour commencer l'année le ventre plein et les bourses pleines, les Belges placent une pièce de monnaie sous leur assiette lors du repas de la Saint-Sylvestre. Cette superstition viendrait de Grèce antique où l'on cachait une pièce qui portait bonheur à qui la trouvait.

     

    10 – Passer le balai... ou pas

    Alors qu'au Chili, cette coutume permettrait de se débarrasser des mauvaises énergies avant l'arrivée de la nouvelle année, en Chine quiconque se saisit d'un balai le 1er janvier aura une année de malchance. Voilà une bonne raison de bien commencer l'année à ne rein faire et surtout pas le ménage !


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  •  Les marchés de Noël

     

    Une tradition vieille de plus de 700 ans. Depuis fin novembre, ces festivités, dont l'héritage nous vient du Moyen Âge, ouvrent leurs étals un peu partout en France.

    Le marché de Noël... Son vin chaud, ses friandises, ses santons, ses chalets en bois joliment décorés. Aujourd'hui, de nombreuses villes françaises se sont approprié ce symbole des fêtes de fin d'année, créé il y a plus de sept cents ans. C'est à Vienne, en Autriche, que l'on retrouve la plus ancienne trace attestant de la manifestation. « Il s'agit d'un arrêté municipal datant de 1294, précise le journaliste et écrivain Philippe Wendling (auteur de La Merveilleuse Histoire des marchés d'Alsace). Il parle d'un marché de décembre qui se déroule autour de la Saint-Nicolas (6 décembre), patron des enfants ». On vient y acheter des épices, du pain, des fruits, des légumes, des étoffes et des petits objets en bois sculpté pour les plus jeunes. Les échoppes sont alors des draps tendus sur des montants de bois. Pommes, pommes de pin, roses et rubans les décorent. Ces petits marchés se développent peu à peu dans le Saint Empire romain germanique. Des arrêtés datés de 1393 l'attestent pour les communes de Bautzen, Nuremberg et Munich. Puis Dresde, en 1434. C'est d'ailleurs dans cette ville qu'est crée le fameux Stollen. Ce gâteau à la farine blanche et aux fruits secs figure encore aujourd'hui sur les étals allemands et alsaciens.

     

    La tradition gagne l'Alsace

    En 1570, un marché de Noël s'installe pour la première fois à Strasbourg, sur la place de la cathédrale. La ville n'est pas encore française, mais elle a épousé la Réforme depuis une quarantaine d'années. « Et justement, le protestantisme, en condamnant les cultes des saints, va modifier la tradition de ces marchés de la Saint-Nicolas », relate Philippe Wendling. Le prédicateur de la cathédrale, Johannes Flinner, convainc le conseil municipal de l'époque de changer le nom et la date de cette manifestation. Rebaptisé marché de l'enfant Jésus, elle sera dorénavant centrée sur la fête de la Nativité, qui débute le 18 décembre. Dès lors, on trouve aussi sur les stands du pain d'épices, des biscuits de Noël, des vêtements et, bien sûr, des figurines pour la crèche. Au fil du temps, on parle de marché de Noël, et c'est au XIXème siècle qu'apparaissent les premiers chalets en bois. Longtemps cantonnés en Alsace, cette pratique s'étend à toute la France dans les années 1990. Et ce grâce au syndicat hôtelier alsacien, qui se plaint de son taux de remplissage alors trop faible (36%). Il demande à la région de faire un effort pour promouvoir cette tradition. En un rien de temps, campagnes de publicité et médias se chargent de l'affaire ! Pour asseoir sa légitimité, Strasbourg s'autoproclame même capitale de Noël en 1991. Une capitale qui fête cette année son 445ème marché de Noël !


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